Les peurs
Tout ne fut pas si facile, en mer tout peut arriver même les choses les plus inattendues.
C’est pour cette raison que le capitaine doit toujours anticiper, surveiller la météo, le ciel etc. C’est ainsi qu’un jour en longeant les côtes espagnoles et que la mer était plutôt calme mais au loin on apercevait un orage en cours, les voiles étaient toutes dehors nous avancions gentiment.
Nous avons aperçu au loin un bel arc-en-ciel, superbe quand soudain un forte risée(vent) est venue nous prendre sur le côté et avec un force énorme est venue coucher le bateau.. Heureusement que Th était à la barre et a pu le redresser en bataillant pour le remettre droit sur l’eau.. Grosse frayeur vous pouvez me croire. L’avantage d’un monocoque (une seule quille)contrairement à un catamaran, c’est que la quille du bateau se redresse automatiquement sauf si trop de poids d’un côté l’en empêche, ce qui aurait pu être le cas si les voiles s’étaient enfoncées trop dans l’eau.
Plus de peur que de mal sauf que dans le carré tout avait dégringolé et c’était le bazard. Cela m’a appris que tout doit être bien rangé avant un départ en mer.
La suite demain.
Commentaires
ah la meteo qui seule decide de la course maritime
il faut faire avec le mauvais temps parfois
merci de ton aventure qui continue
Ouh là moi çà m'aurait mise dans un état...
Je vais te surnommer dame courage si çà continue ^^
Bisous et bonne soirée ^^
Prends bien soin de toi ^^
Bonjour Alixia
Sur que là faut vraiment anticipé et rester maitre de son bateau
Il a , du moins vous avez assurés la bonne marche
Je te dis bonne fin d apres midi en ce vendredi et Bon weekend Amitiés