Pour reprendre mes récits je voudrais vous raconter une expérience pas banale.
La semaine je reprendrais mes nouvelles aventures...
En conclusion
Pour clôturer définitivement mon histoire, je voudrais passer un message aux familles adoptantes. N’ayez pas peurd’avouer à vos enfants que vous n’êtes pas leur famille biologique et ce dés le très jeune âge. Pour être passé par cette case d’abandon et d’adoption je dirais que j’ai regretté que mes parents adoptifs ne m’est rien dit, j’aurais compris et ne les auraient pas abandonnés à leur tour. Nos rapports auraient été bien différend car j’ai toujours eu une retenue avec ma mère et mon pèreavec toujours ce sentimentd’être redevable, et toujours sur la défensive avec ma mère surtout. Si elle m’avait parlé après mon retour de Marseille , car je pense qu’elle savait que j’étais allé voir mon tonton et ma tantine, mais elle à préféré faire l’autruche. J’ai toujours eu l’impression qu’elle m’espionnait. Je sais qu’elle m’en a voulu quand mon père est décédé, elle aurait surement préféré que ce moi qui parte en premier. Elle me l’a bien fait sentir d’ailleurs par des insinuations , des allusions assassines , et bien plus tard en me déshéritant au profit de mon ex qui avait bien su manœuvrer après notre divorce, l’imbécile… pas si idiot que ça ! On ne se rend pas compte du mal que l’on fait à son enfant qui reste dans ce secret, cette incertitude une partie de sa vie et parfois toute sa vie. Quand on le découvre trop tard c’est comme un tsunami qui vous balaye. Ne pas connaitre ses racines est une souffrance permanente. C’est comme les enfants nés sous X, je comprends les mères qui ne désirent pas que leur enfant les retrouve, mais il faut laisser des lettres expliquant le pourquoi de l’abandon, des indices pour la santé pour les maladies héréditaires et bien d’autres choses pour aider à se reconstruire, etc.